Début d’année oblige, des experts IA nous livrent leurs prédictions 2019. Nous avons aussi sélectionné des applications concrètes de l’Intelligence Artificielle : dans l’éducation pour réduire l’échec scolaire, dans le business pour optimiser l’expérience de ses clients ou de ses services, grâce au machine learning.
Que nous réserve l’IA en 2019 ?
5 experts IA issus du monde de l’entreprise se sont prêtés au jeu des prédictions 2019. Selon eux, L’IA devrait passer du sujet «branché» dont on parle sans le mettre en œuvre à la réalisation de vrais projets opérationnels.
Ils rassurent aussi sur le fait que l’intelligence crée des emplois, pas l’inverse.
L’adaptive learning : la solution contre l’échec scolaire ?
Les élèves n’ont pas tous le même rythme d’apprentissage, et les professeurs, avec des classes en surnombre, n’ont pas assez de temps à leur consacrer.
En Chine, un professeur réussit à capter l’attention de tous ses élèves, sans qu’aucun ne se disperse, grâce à son talent pédagogique inné ?
Pas tout à fait, il s’appuie sur l’adaptive learning, une technologie IA qui lui permet d’adapter ses cours en fonction des réactions de son auditoire, et ça fonctionne !
IA et commerce, l’équilibre juste entre la technologie et l’humain
Pour faire face à des clients toujours plus avertis, l’expérience utilisateur des marques doit être à la hauteur d’exigences fortes.
Le machine learning permet d’analyser les données des consommateurs pour mieux connaître leurs habitudes et proposer les produits/services associés.
Pour établir une relation pérenne avec sa cible, le marketing doit trouver le juste équilibre entre les technologies IA et l’humain.
Uber développe ses services grâce à l’IA
Uber a engagé une armée de data scientists et a développé sa propre plateforme de machine learning.
Pour rester dans la course et optimiser ses services, il utilise tout un panel de technologies IA : machine learning, deep learning, apprentissage supervisé, etc…
Avec des résultats impressionnants : il a par exemple réussi à « baisser de plus de 50% (dans certains cas) le taux moyen d’erreur des ETA (heures d’arrivées estimées) », un indicateur crucial de son activité.
