Martin, étudiant à Polytech Lyon, est en alternance chez BIAL-R comme chargé de mission data. Il a récemment consacré un mois à une initiative de volontariat. Son voyage l’a mené à Corfou, une île grecque, où il a offert son aide dans un refuge pour animaux abandonnés, le Corfu Donkey Rescue Center. Au sein de ce refuge, les principaux pensionnaires étaient des ânes, mais on y trouvait également des chats, des chiens, des lapins et des coqs.
Les ânes de Corfou : abandonnés, mais secourus immédiatement
Les ânes, qui sont le cœur de l’activité du refuge, sont une cause importante sur cette île de Corfou. Ces animaux sont fortement utilisés dans le cadre du travail de la ferme ou du tourisme. En effet, les terrains sont très accidentés, ce qui peut être un frein pour certains animaux, contrairement aux ânes, qui s’y plaisent. Cependant, une fois que ces derniers deviennent trop vieux, malades ou fatigués pour travailler efficacement, il n’est malheureusement pas rare qu’ils soient abandonnés dans la nature par leurs propriétaires. C’est ici qu’interviennent les membres du refuge, qui récupèrent ces ânes, repérés par les habitants de l’île bien souvent.
L’objectif de Martin était de soutenir les activités quotidiennes du refuge et de contribuer au bien-être des animaux résidents. Chaque jour, il s’impliquait dans diverses tâches, dont le nettoyage des stabules et des enclos, la préparation des repas et l’assistance aux soins prodigués par les vétérinaires.
Martin, un soutien quotidien au refuge
Le quotidien de Martin débutait tôt le matin. Il participait activement au nettoyage des enclos, veillant à ce que les espaces de vie des animaux soient propres et confortables. La préparation des repas était une étape importante de sa journée, impliquant le mélange méticuleux d’avoine, de graines et d’autres céréales pour nourrir les ânes. Il fallait aussi préparer de nombreux bols de croquettes pour répondre aux besoins nutritionnels variés des animaux du refuge. Chaque animal avait même ses petites habitudes à respecter, sous peine qu’il ne se nourrisse pas.
En plus de ces tâches essentielles, Martin contribuait également aux travaux d’entretien. Il réparait les clôtures et les grillages qui en avaient besoin, assurait la propreté des zones communes, et veillait à ce que chaque animal puisse évoluer dans un environnement sûr et bien entretenu.
Des défis et des opportunités à l'étranger pour nos alternants
Le voyage de Martin n’était pas sans défis. S’adapter à un nouvel environnement, communiquer avec une équipe internationale et répondre aux besoins individuels des animaux exigeaient une approche flexible et un esprit résilient. Cependant, Martin a pris ces défis comme des opportunités d’apprentissage et de croissance personnelle, qui faisaient partie de ses objectifs en postulant pour ce volontariat. Son envie était de changer totalement d’environnement, dans ce qui a été à ce jour sa seule expérience concrète seul à l’étranger.
Son expérience l’a amené à réfléchir à l’impact de ses actions. Bien qu’il ait pu aider de manière modeste, il comprenait que chaque petite contribution contribuait au bien-être collectif des animaux. Cette expérience a renforcé sa croyance en l’importance des efforts individuels dans la réalisation d’une cause plus vaste.
BIAL-R partage les valeurs du volontariat
Le voyage de Martin a été rendu possible grâce au soutien de BIAL-R, une entreprise partageant ses valeurs de responsabilité sociale. Martin est reconnaissant envers l’entreprise de lui avoir permis de s’impliquer dans une initiative qui lui tient à cœur.
Alors que Martin conclut son expérience, il emporte avec lui des souvenirs significatifs et des enseignements durables. Son engagement envers le bien-être animal et son expérience au refuge continueront de façonner sa vision du monde et d’influencer son parcours académique et professionnel.
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